Hervé Kempf - 22 janvier 2009
En novembre dernier, les dirigeants de General Motors, la plus grande compagnie d’automobiles des Etats-Unis, sont allés à Washington. Ils venaient demander au Congrès – le Parlement – de voter une aide d’urgence de plusieurs milliards de dollars, afin de sauver leurs entreprises au bord de la faillite. Des journalistes se sont rendus compte qu’ils étaient venus dans leur jet privé, au lieu de prendre un avion de ligne, ce qui aurait économisé de l’argent. Un sénateur leur a demandé s’ils étaient prêts à abandonner ce moyen de transport de luxe. Pas question, a répondu en substance le patron de General Motors.
Lire la suite : reporterre.net