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vendredi 31 janvier 2014

Minuscule, l'épopée miniature


Un bien joli petit film français d'animation muet mais riche en bruitages. Dans de magnifiques décors réels nous suivons les aventures d'insectes très mignons réalisés en 3d. C'est burlesque, émouvant, drôle et épique. Les plans sont magnifiques, certains posent une incroyable ambiance, et accompagnent parfaitement le récit. Une belle aventure à partager en famille, qui nous rappelle que dans notre jardin ou à deux pas de chez nous, si l'on prend le temps de s'accroupir et d'observer, un monde merveilleux et fantastique s'offre à nous.

Bande annonce du film : http://www.youtube.com/watch?v=JJVBVjly29U

vendredi 17 janvier 2014

Mon âme par toi guérie


Merci à Télérama de nous offrir dans le cadre de son festival, la possibilité de revoir cette réalisation forte et vibrante de François Dypeyron. Un film à la croisée des chemins, entre réalisme social qui nous fait découvrir la vie d'hommes et de femmes modestes, limite à la marge de la société comme on dit,  et un cheminement initiatique, incarné par le personnage principal qui doit choisir de laisser passer la vie en lui, le don que la nature lui a offert pour se libérer et commencer à s'épanouir et aimer.

Critique de Pierre Murat :

"François Dupeyron réalise, pas souvent, pas assez souvent, des films irrésistibles par leur sincérité, dont les titres sont toujours bizarres : Drôle d'endroit pour une rencontre, Un coeur qui bat, Inguélézi, Mon âme par toi guérie... Des films qui collent au réel, mais qui sont tout sauf réalistes. Ils se déroulent en France, mais une France rêvée, parfois cauchemardesque, pas celle qu'on voit dans les journaux télévisés, en tout cas. Une France embellie, métissée par d'autres influences cinématographiques : l'Amérique, notamment. Le Midi où vit Frédi ressemble à celui où débarque Matthias Schoenaerts au début de De rouille et d'os, de Jacques Audiard. Lui-même, vaguement barbu, en cuir sur sa moto, a de faux airs de Hells Angel de province, plus attendrissant qu'inquiétant. Et les chansons qui l'accompagnent tout le temps, ballades rock chantées en anglais, sont le reflet d'un ailleurs espéré...
Dans les films de Dupeyron, les gens parlent toujours bien, c'est-à-dire qu'ils font des mots, comme dans le grand cinéma français de jadis. Même s'ils parlent « mal », en fait : mal embouchés, grossiers, presque vulgaires, parfois, comme on l'est dans la vie, quand elle vous joue des tours pendables. Chez lui, c'est la lumière des êtres qui importe. Et la lumière tout court : envahissante, souvent, presque implacable. Ici, le soleil semble, sans cesse, vouloir entrer dans le cadre, tel un intrus. Ce sont les personnages qui l'en empêchent : ils lui tournent le dos, ils le refusent. Logique : ce sont tous des êtres de refus...
Frédi, par exemple. C'est un type aux yeux doux, comme le prince Muichkine, l'« idiot » de Dostoïevski — il est épileptique comme lui. Comme le prince face à son passé, Frédi refuse le don hérité de sa mère récemment décédée : soulager les autres par l'imposition des mains... Massif, taiseux (Grégory Gadebois, sublime), Frédi ressemble aux héros tragiques des films noirs hollywoodiens — Robert Mitchum, John Garfield —, souhaitant vivre en paix, mais toujours rattrapés par le destin : dans le cas de Frédi, un accident qu'il a causé et ce don de guérisseur qu'il repousse...
Nina (Céline Sallette), qu'il rencontre — mais pas tout de suite : le salut, ça se mérite ! —, a un don, elle aussi : se détruire. Elle va de bar en bar et de coupe en coupe, jusqu'à ce que le néant l'engloutisse. Elle est grimaçante, outrancière, mais toujours digne dans sa défaite acceptée. On n'a pas vu à l'écran d'alcoolique aussi terrifiante et émouvante depuis le méconnu Fat City, de John Huston, dans les années 1970... Nina erre, se cogne aux autres et à elle-même, pitoyable et belle, couverte de bleus invisibles. Comme tous les personnages du film, elle pourrait faire sienne la formule d'Henri Calet : « Ne me secouez pas, je suis plein de larmes. »
Donc, avec ses plans au plus près des visages, François Dupeyron contemple son héros, cet autre lui-même, contempler la douleur des autres. La mère de l'enfant accidenté qui, pour ne plus voir sa souffrance, souhaite sa mort et s'en veut. Et l'amie (Marie Payet) qui lui hurle, en même temps que sa frustration, un amour secret qu'il ne peut partager... Comme John Huston, Dupeyron ne sait, ne veut filmer que des égarés magnifiques, des perdants, des aventuriers ratés. Des réfractaires à ce Dieu qu'ils vomissent, dont ils attendent un signe qui ne vient jamais — à moins qu'ils ne sachent pas voir. « J'ai rêvé que le ciel me regardait, et j'ai peur », dit Frédi. Mais il filme, aussi, entre ces cabossés persuadés d'être inguérissables, des liens qui, parce qu'ils les ont tissés dans la peine, risquent de tenir bon. Mon âme par toi guérie n'est rien d'autre, en fait, que l'histoire, romanesque et banale, d'un amour qui se fait.
L'espoir n'est pas loin. La preuve : l'étrange gamine de Frédi. Elle ressemble à la fille du « stalker » de Tarkovski, qui, par la seule force de son regard, parvenait à faire bouger des objets. Apparemment, Lucie semble, comme les autres, prisonnière de ses tourments. Mais, sur une plage, la voilà qui s'accroche, soudain, à un cerf-volant qui trône dans le ciel. Elle quitte le sol. Durant quelques secondes, elle vole... — Pierre Murat"

Source : Télérama


jeudi 16 janvier 2014

Festival Télérama du 15 au 22 janvier

Comme tous les ans, Télérama nous invite à voir ou à revoir les films de l'année sélectionnés par la rédaction. Présentez à la caisse, dûment rempli, le pass pour deux personnes que vous trouverez dans le magazine de cette semaine ou de la semaine dernière, afin de recevoir en échange une carte valable jusqu'au 21 janvier, permettant de voir tous les films du festival (3 € par personne et par séance).



Les films sélectionnés

La Vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2
Django Unchained
Inside Llewyn Davis
Prisoners
Frances Ha
La Grande Bellezza
A Touch of Sin
La Danza de la Realidad
Blue Jasmine
L' inconnu du lac
Le Géant égoïste
Mon âme par toi guérie
Le Passé
Snowpiercer, Le Transperceneige
Heimat
L' Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet (Film "Jeune public")



Bonne séance !

jeudi 26 décembre 2013

Le miracle sur la 34ème rue de George Seaton

Un beau conte, simple, drôle et humain sur le véritable esprit de Noël. Une histoire touchante qui traverse les années, à voir et à revoir en famille pendant les fêtes.

Présentation de "L'oeil sur l'écran" : Un homme avec une barbe blanche se fait engager pour faire le Père Noël par le grand magasin Macy's de New York. Lorsqu'il dit être le véritable Père Noël, la femme qu'il l'a engagé se demande s'il est fou. Le psychologue de la maison le prend en grippe… Avec La vie est belle de Frank Capra, Le miracle de la 34ème rue est *le* film de Noël par excellence et, ce, depuis plus 50 ans. Il ne se passe pas un Noël aux Etats-Unis sans qu'il soit largement diffusé. Bien entendu, on peut trouver vieillotte cette histoire gentille et pleine de bons sentiments mais elle fonctionne toujours remarquablement bien. Le scénario est admirable. L'idée de base vient de Valentine Davies : observant la frénésie commerciale autour de Noël, il s'est demandé ce que penserait le vrai Père Noël s'il débarquait à l'improviste. Il développe fort bien l'idée avec son ami George Seaton pour donner une histoire très bien équilibrée, sans excès de guimauve, bien rythmée avec de bons rebondissements, une histoire qui peut plaire autant aux adultes qu'aux enfants. Les dialogues relevés contribuent à lui donner une belle vitalité ; l'ensemble est servi par une bonne interprétation, y compris dans les seconds rôles. Les prestations d'Edmund Gwenn en Père Noël et de la toute jeune (9 ans) Natalie Wood restent durablement dans les esprits. La réalisation de George Seaton est sans doute un peu terne mais elle a le mérite de contribuer à la simplicité de l'ensemble. Sous ses apparences de film facile et bon enfant, Le miracle de la 34ème rue reste une petite merveille d'écriture, une bien belle histoire qui nous fait passer un bon moment.


vendredi 25 octobre 2013

Gravity : êtes-vous prêt pour l'expérience ?

Peut être pas le chef-d'oeuvre annoncé par certaines critiques, à cause, sans trop en dire, d'un choix de développement scénaristique qui fait perdre de la force au récit dans la dernière partie du film (mais ne suis-je pas en train de chipoter là ?). Mais une expérience cinématographique intense et vraiment impressionnante. Un huit clos, paradoxalement, en plein espace ouvert qui implique totalement le spectateur grâce à une 3D qui est loin d'être ici un gadget mais une prouesse technique entièrement au service du récit. Contemplatif, immersif et tendu, un film qui vaut plus que le détour, à voir absolument en 3D et de préférence en version originale. Difficilement concevable d'ailleurs ici de voir ce film présenté uniquement en VF dans pas mal de cinémas....








vendredi 6 septembre 2013

My Blueberry Nights de Wong Kar-Wai

1ères minutes du film légèrement confuses et maladroites qui nous font d'autant plus tombées sous le charme de Norah Jones et Jude Law et de leur amitié naissante.

Nous sommes ensuite embarqué dans voyage tout d'abord envisagé comme une fuite - suite à une rupture douloureuse - qui se transformera au fur et à mesure des rencontres que fera Elisabeth/Norah Jones, en périple initiatique.

Très romanesque et littéraire dans la trame, Wong Kar-Wai nous envoûte avec sa réalisation sensible et expressive, la magnifique et sensuelle photographie du film et ses actrices qui le sont tout autant.
Il nous émeut également, particulièrement avec l'histoire de Arnie (formidable David Strathairn), qui cherche à remplir avec l'alcool le vide laissé suite à une rupture amoureuse.

Vrai travail d'artiste, road movie initiatique, romance chargée d'un parfum d'onirisme soulignée par  BO aux petits oignons...  voici un film coup de coeur que je vous invite à découvrir.



dimanche 7 juillet 2013

Treeless mountain, l'innocence malmenée


A la façon d'un documentaire, une tranche de vie réaliste, dramatique et attendrissante. Porté par de petites actrices tout à fait adorables, très expressives et spontanées, qui apportent une réelle authenticité aux situations.

L'histoire de deux jeunes soeurs, Jin et Bin, qui se voient confier par leur mère à l'une de leur tante pour l'été, le temps qu'elle retrouve leur père... Celle-ci s'en occupera tant bien que mal, d'autant que l'attente du retour de la maman de Jin et Bin se prolonge plus longtemps que prévu.

Elles vont alors découvrir et se retrouver confronter à la réalité et la rudesse du monde des adultes. Commence pour les 2 soeurs un parcours initiatique, qui verra leur innocence malmenée mais aussi renforcera leur lien fraternel jusqu'à découvrir la poésie du plein air et de la de la campagne.

Un beau petit film simple et touchant.




jeudi 27 juin 2013

Man of Steel de Zack Znyder


Une demi réussite, un film bancale et décevant là où je l'attendais le plus c'est à dire sur les scènes de l'enfance et de l'adolescence de Clark Kent passées à Smallville.
Là dessus Richard Donner avait fait beaucoup mieux avec le 1er Superman...

Dans Man of Steel, présentées sous forme de flashback, ce qui est une bonne idée à priori, elles sont trop courtes,  et empêchent de vraiment rentrer dans le passé et l'évolution du super héros. Cela commençait pourtant très fort avec une incroyable scène où Clark enfant a une crise d'angoisse en classe... et pour la plupart les autres séquences ne sont pas mauvaises. Mais il manque un petit quelque qui aurait fait toute la différence. Le rôle du père notamment, incarné par Kevin Costner, n'est pas très bien écrit, et son personnage fonctionne assez moyennement. Je pense en particulier à la scène de l'ouragan à la limite du grotesque ou du ridicule, pas très crédible en tout cas.

Loin d'être un mauvais film cependant, il y dans Man of Steel des amorces de plein de bonnes choses (voire très bonnes) mais pour beaucoup d'entre elles, elles sont mal exploitées. La photographie est très belle mais appelle une profondeur qu'on ne retrouve pas et c'est frustrant. L'acteur pour incarné Superman est bien choisi, les effets spéciaux sont rééllement impressionnant, certaines scènes d'actions bien menées sont tout à fait bluffantes, mais trop d'action tue l'action, et sur la dernière partie, il manque de respiration, les combats et la destruction n'en finissent plus, à la limite de nous donner un beau mal de crâne... dommage.

Filmé caméra à l'épaule, le parti pris était intéressant, mais à toujours trop coller aux acteurs, cela casse ou réduit la possibilité de développer l'empathie envers les personnages et les situations. A moins que ce soit tout simplement un problème d'écriture, de scénario...

J'en attendais sans doute trop de ce nouveau Superman, notamment à cause de ce que suggérait la magnifique bande annonce du film ; petite déception donc, sans regret malgré tout d'être aller le voir au ciné. Ca reste du grand spectacle !


La bande annonce qui m'a carrément emballée


P.S : petite question subsidiaire, à ceux qui ont vu le film, avez-vous une idée de comment Clark Kent s'est rasé juste avant d'enfiler son costume dans le film ?



lundi 24 juin 2013

Star Trek Into Darkness de J.J Abrams


Parfait équilibre entre action, mystère, suspense, moments de tension intense, émotion et humour. Ce dernier élément reposant essentiellement sur l'amitié et les relations fortes entre les membres de l'équipage que sont Kirk, Spoke, Mc Coy, Scotty et Uhura, chacun ayant une personnalité bien trempée.

Un superbe film de SF avec du souffle et de beaux moments épiques servis par des effets spéciaux époustouflants. Un méchant tout à fait charismatique et égnimatique... Et une "entreprise" cinématographique nous offrant au final un discours pacifiste et humaniste. J'ai retrouvé avec ce Star Trek l'esprit des premiers Star Wars... chapeau J.J Abrams !


Bande annonce du film : www.youtube.com

 Détails et plus d'infos : www.allocine.fr


lundi 10 juin 2013

Le Samouraï du crépuscule de Yoji Yamada

















Joliment filmé, bien reconstitué,
Une émouvante histoire d'amour et de dévouement familiale, poétique et humaine.
Un film qui prend son temps, presque documentaire par moments... posé et méditatif.
Une belle histoire touchante d'un humble samouraï. 
Il y a seulement deux affrontements aux sabres dans le film, qui jalonnent
et pausent en quelque sorte le rythme du récit.
Hiroyuki Sanada (qui incarne l'humble samouraï) et Rie Miyazawa (son amour de jeunesse) sont remarquables.

Un coup de coeur Aujourd'hui Demain !

Bande-annonce en VO : www.youtube.com

Synopsis et détails : www.allocine.fr

mercredi 29 mai 2013

Verbo d'Eduardo Chapero-Jackson

Un surprenant conte initiatique et fantastique sur le vague à l'âme de l'adolescence, le vide existentiel que peut faire ressentir cette période de transition, où la réalité du monde des adultes s'oppose à la fantasmagorie de l'enfance...

Une 1ere partie mystérieuse, inquiétante et captivante qui conduit la jeune Sara à percer le mystère de fresques urbaines créées par un artiste des rues qui se fait appeler Lirico. Elle basculera alors dans un monde parallèle où lui sera offert la possibilité d'éviter le pire et de se ressaisir ; de l'autre côté du miroir, elle devra passer des épreuves qui lui permettront, si elle réussit, d'aller à la découverte de soi, de sa force et de ses ressources intérieures.
 
Nous la suivons alors dans une seconde partie bourrée de bonnes idées, poétique, mélant slam et animation, inspirée qui flirte cependant avec le kitch sur certaines scènes, et pêche à cause d'un discours peut-être trop appuyé ou simplifié...  L'ensemble peut également sembler parfois un peu démagogique, mais le talent du réalisateur (qui nous offre, entre autres, de superbes cadrages) et de l'actrice principale nous capte dès le début et nous embarque dans une histoire forte et assez électrisante au final, sur l'affirmation de soi.

A voir en version originale sous-titrée pour le phrasé du slam en espagnol et pour saisir pleinement le jeu des acteurs.

Bande-annonce (qui ne présente que les scènes d'action, l'aspect psychologique et mystérieux du début n'y transparait pas...)


samedi 11 mai 2013

Hasta la vista de Geoffrey Enthoven

Un film impertinent, drôle et émouvant. Un fantastique trio d'acteurs, une très belle histoire d'amitié sur les possibilités de la vie malgré le handicap...


Histoire : Trois jeunes d’une vingtaine d’années aiment le vin et les femmes, mais ils sont encore vierges. Sous prétexte d’une route des vins, ils embarquent pour un voyage en Espagne dans l’espoir d’avoir leur première expérience sexuelle.  Rien ne les arrêtera… Pas même leurs handicaps : l'un est aveugle, l'autre est confiné sur une chaise roulante et le troisième est complètement paralysé.




jeudi 11 octobre 2012

"Wolfen" de Michael WADLEIGH - Dieu ou diable ?




"Au-delà des scènes chocs et sanglantes,[...] il y a une histoire qui tient remarquablement la route[...] une enquète policière somme toute banale qui progressera vers le fantastique discret, sous la forme d’une légende indienne, et l'engagement politico-écologique étudiant les liens qu'entretiennent l'homme et la nature".
David Dourret
Lire la critique complète sur : Ciné-directors.net

"Dans Wolfen, il est question de ce que l'homme s'octroie au détriment des lois de la Nature. Et en particulier d'hommes soi-disant civilisés par la grande ville. À travers un récit fantastique, c'est donc avant tout une satire sociale et écologique qui se déroule sous nos yeux." Richard B.
Lire la critique complète sur :www.scifi-universe.com

jeudi 18 février 2010

Coraline et l'inquiétant pays fantastique

De l'autre côté du miroir, il y a une famille parfaite, toujours disponible, qui réalise tous nos souhaits et bien plus encore. Mais n'est-ce pas trop idyllique ? Telle la maison en pain d'épices de la sorcière d'Hansel et Gretel, n'y a-til pas un terrible piège et un funeste destin qui se cache derrière tout cela ? C'est ce que va devoir découvrir la jeune Coraline Jones, qui vient d'emménager avec ses parents dans une immense demeure composée de plusieurs appartements.


Coraline - Extrait 1 VF
envoyé par Universal_Pictures_France

Henry Selick, réalisateur de l'étrange Noël de Monsieur Jack et de James et la pêche Géante, adapte ici le roman fantastique de Neil Gaiman : Coraline. Conte gothique, surréaliste, psychanalytique, inquiétant, un film d'animation remarquable au service d'une imagination débridée.

A emprunter à votre médiathèque préférée, disponible neuf ou d'occasion sur Amazon : Coraline

Dans certains cinémas en France le film a été déconseillé au moins de 10 ans

vendredi 5 février 2010

Coup de coeur : Stand by me de Rob Reiner

Quatre inséparables copains, chacun avec un caractère bien marqué selon son histoire personnelle (qui n'est pas toujours des plus réjouissantes), partent à la recherche du corps d'un enfant disparu mystérieusement dans la forêt de Castle Rock.



Petit chef d'oeuvre nostalgique. Hymne à l'amitié et à l'aventure estivale en pleine nature tel qu'on la rêve à l'adolescence. Un film drôle et grave, sur fond de quête macabre, une allégorie du passage de l'enfance à l'âge adulte.

Divertissant et touchant, fort juste dans l'évocation de l'adolescence, ce film peut vous laisser un sentiment profond de nostalgie après l'avoir visionné.

Of course, à voir en vostfr de préférence ;-)