lundi 29 avril 2013

Petition : Stop the Extermination of Wolves


On October 1 it became legal to shoot, trap and gas Wyoming's 328 wolves throughout most of the state. Already more than 40 wolves have been killed.
Tell Wyoming Governor Matt Mead to put a stop to the slaughter of gray wolves, and end this brutal extermination policy taking place in nearly 85 percent of the state.
Wyoming's new law threatens the gray wolf recovery that is under way in the Northern Rockies—and even includes a dangerous loophole that would make it legal to kill wolves no matter how few remain.
Help us keep the pressure up! Ask Governor Mead to stop the slaughter, and put policies in place to ensure the survival of wolves now and for future generations.

Pour signer la pétition : theanimalrescuesite.greatergood.com

Pour traduire le texte en anglais approximativement :)
translate.google.fr

jeudi 25 avril 2013

mercredi 24 avril 2013

vendredi 19 avril 2013

jeudi 18 avril 2013

La douceur sauvera le monde avec Alexandre Jollien

Tous les êtres aimants m’aident à comprendre que rejoindre le fond du fond, le cœur de notre intimité n’est pas amer. Descendre dans le silence c’est rentrer à la maison et y abandonner toute tension, dans la douceur. 

Dans le bus, l’agressivité ambiante ainsi qu’un manque flagrant de douceur me font une étrange impression. Pourquoi dans les transports publics avoir le sentiment de devoir protéger son territoire? Pourquoi des gestes aussi naturels que sourire, dire bonjour ou céder sa place à une femme enceinte ou à une personne handicapée commencent à se faire rares? Je venais de confier à mon fils qu’à mes yeux l’essentiel tient en trois mots: joie, paix et amour, quand, ce jour-là, devant les visages des passagers, je me suis surpris à m’exclamer: «Pourquoi on tire autant la gueule dans ce bas monde?»
La crise continue certes, la vie est dure bien sûr mais à quoi bon en rajouter une couche en sombrant dans un climat de morosité et d’agressivité? Etre à l’aise avec l’autre n’est pas si aisé. Demeurer joyeux dans la solitude, non plus. Souvent, on trimballe ses complexes et ses peurs au milieu de la foule. On se fuit sans jamais se débarrasser de ce qui nous tourmente. Demeurer seul dans sa chambre, ne rien faire, relève d’une corvée voire carrément d’une insupportable torture pour qui n’a pas rejoint la paix au cœur de son être. De là à tenter d’échapper à soi-même en rampant vers les autres, il n’y a qu’un pas et il est, ma foi, vite franchi. Tant d’aigreur et tant de méchancetés trouvent leur origine dans l’incapacité quasi congénitale d’être, pour soi, de bonne compagnie. Il ne s’agit pas de se précipiter dans le culte de son petit ego mais plutôt d’apprendre à cohabiter paisiblement avec ses faiblesses, cesser de craindre ses blessures pour commencer à s’envisager avec un peu de douceur.

Devenir l’ami de nous-mêmes
Déjà, et c’est énorme, ne plus être pour soi un fardeau. Du matin au soir, mille désagréments mentaux nous assaillent et dès que nous nous retrouvons seuls une multitude de fantômes peuvent accourir et nous terroriser. Des fantômes? Oui, l’autocritique, le dénigrement perpétuel, l’ennui, la culpabilité, le manque, tous ces démons stériles et voraces nous mettent insidieusement et sans relâche au supplice et semblent n’attendre que le silence pour brailler plus fort. A y bien regarder, nous sommes plus d’une fois des experts pour nous rendre malheureux, incapables d’être doux avec nous et, sans doute, guère davantage avec les autres. Sénèque est précieux lorsqu’il nous invite à devenir l’ami de nous-mêmes. Rire de nos travers, repérer ce qui nous repose vraiment, savoir ce qui nous détend profondément sont autant de pas qui nous rapprochent de la paix, de la joie et de l’amour. La douceur peut faire tout péter, même les traumatismes les plus tenaces. Ce qui m’aide à oser quitter toute dureté ce sont les sourires, les mains ouvertes qui sont là, à mes côtés, inflexiblement bienveillants, quoi que je fasse. Voilà le trésor d’une vie. Ainsi, sur ma route, je suis épaulé par un comédien, un prof de grec, un trader, un croque-mort, un prêtre, une épouse, trois joyeux petits enfants et bien d’autres. Devant ces êtres chers, aucun rôle ne tient. Quoi de plus tragique d’ailleurs que de mentir aux proches? La tendresse fait disparaître carapaces et armures.

Se confier en toute liberté
Celui qui se sent inconditionnellement aimé quoi qu’il fasse n’a plus besoin d’en faire des tonnes pour être apprécié ni de danser les claquettes pour attirer l’attention. Etre doux c’est abandonner tout jugement, accueillir la vie sans vouloir la changer à tout prix et permettre d’être ce que nous sommes véritablement. Je ne suis pas toujours philosophe devant mes intimes. Je pleure, je ris, et il m’arrive souvent d’être paumé et pénible. Est-ce aimer que d’exiger d’autrui d’être joyeux, spirituel, drôle tout le temps? Avec un ami dans le bien, je suis aussi bien dans la légèreté que dans la profondeur. J’écoute et me confie avec une absolue liberté. Et quel plus vrai plaisir que de méditer trente minutes sans dire un mot, juste présent et disponible aux côtés d’un frère ou d’une sœur en humanité et finir la soirée en rigolant autour d’un bon film comique. Ainsi tous ces êtres aimants m’aident à comprendre que rejoindre le fond du fond, le cœur de notre intimité n’est pas amer. Descendre dans le silence c’est rentrer à la maison et y abandonner toute tension, dans la douceur. 

mercredi 17 avril 2013

L'or est-il au-dessus de tout, M. Montebourg ?

La forêt est la richesse durable du 
Parc amazonien de Guyane (crédit photo : Rhett Butler)
 
« L’avenir de Saül, son incomparable richesse, c’est l’attrait de ce patrimoine naturel préservé sur les amoureux de la nature, c’est la possibilité pour le grand public d’accéder au coeur du parc amazonien. C’est aussi l’attraction qu’exerce la forêt amazonienne sur la communauté scientifique, et la perspective pour Saül d’être la porte d’entrée d’un laboratoire naturel de renommée internationale. » En 2009, M. Mortier, directeur du Parc amazonien de Guyane (PAG), émettait un avis défavorable à la demande de permis d'exploitation minière formulée par la société REXMA dans le secteur Limonade (du nom de la crique / rivière) de la commune de Saül.
Trois ans plus tard, REXMA a obtenu ce qu'elle cherchait : le ministre du redressement productif Arnaud Montebourg lui a accordé le 26 octobre 2012 un permis d'exploitation de mines d'or et substances connexes dit « Permis Limonade ». À quelques kilomètres de ce site, les 70 habitants de Saül, bourg complètement isolé au coeur de la forêt tropicale guyanaise, sont abasourdis.
Le permis va y rendre possible l'exploitation minière sur une superficie de 10km2 à l'intérieur du Parc amazonien de Guyane, un territoire pourtant interdit à cette activité selon le Code minier. Les rapports défavorables des organismes concernés (DRIRE, DEAL, préfecture, IUCN, PAG), pas plus que les délibérations du Conseil municipal de Saül, n'ont été pris en compte.
Cette décision unilatérale du ministère est une catastrophe pour toutes celles et ceux qui se sont investis depuis tant d'années à Saül dans la logique de valorisation touristique et scientifique de ce qui est la richesse pérenne du Parc amazonien de Guyane : sa forêt.
Mobilisons-nous pour obtenir le retrait du permis aurifère accordé par M. Montebourg à la société REXMA.

Source et pétition à signer :www.sauvonslaforet.org

mardi 16 avril 2013

Rokia Traoré - M'bifo (je te remercie)

Première chanson de l'album Bowmboï. Dans cet album, Rokia Traoré utilise la musique malienne traditionnelle, soulignée par son chant puissant et ciselé lié à la tradition griot. Rokia Traoré en est l'auteur-compositeur-interprète avec la collaboration du Kronos Quartet sur deux titres - wikipédia.



Traduction libre trouvée sur internet :

Il est vrai que l’union fait la force
Merci à toi mon aimé
Quoiqu‘il arrive d’être à mes côtés,
Du temps de ma solitude et de mes angoisses,
Je n’ai gardé qu’un souvenir lointain.
A présent je suis forte de ton soutien.
Ta présence me rend radieuse.

Je me souviens encore de mes tristes pensées.
Lorsque j’observais ces couples
Qui croulent sous le poids de leur union.
Les hommes et les femmes pour lesquels
L’union devient un carcan.

"La solitude me garantirait une vie plus agréable",
Me disais-je.
Je n’aurais pas à supporter la douce amertume
Qui s’installe dans les couples au fil du temps.
Ainsi je ne vivrais que des histoires d’amour.
Jamais d’union amère.

Ces tristes pensées sont loin derrière
A tes côtés, j’ai franchi une étape.
Lorsque les choses vont mal.
On se quitte.
Qu’on se le dise
Lorsqu’on est heureux.

Merci mon aimé, merci Ô chéri.
De l’époque de ma solitude, je t’ai amené un contenant vide
Tu me l’as rempli d’amour, tu me l’as rempli de bonheur.

lundi 15 avril 2013

Pétition : Monsanto contre Mère Nature

C'est inouï, Monsanto & Co. ne lâchent pas l'affaire. Ces entreprises biotech âpres au gain ont trouvé le moyen de prendre le contrôle exclusif de la source de toute vie -- la source de notre alimentation! Ils essayent de breveter plusieurs variétés de nos fruits et légumes de tous les jours comme les concombres, les brocolis et les melons, ce qui revient potentiellement à forcer les agriculteurs à payer pour les graines ou les exposer au risque d'être poursuivis en justice.

Mais nous pouvons les empêcher d'acheter Mère Nature. Les firmes comme Monsanto profitent des lacunes de la loi européenne pour obtenir des droits exclusifs sur des variétés classiques de graines. Il suffit donc de combler ces lacunes avant qu'elles ne créent un dangereux précédent au niveau mondial. A ces fins, nous avons besoin que des pays clés comme l'Allemagne, la France et les Pays-Bas -- où la contestation monte déjà -- appellent à un vote pour stopper les desseins de Monsanto. La communauté d'Avaaz a déjà renversé des votes, et nous pouvons à nouveau y parvenir.

De nombreux agriculteurs et politiciens s'y opposent déjà -- ne reste que le pouvoir citoyen pour obtenir de ces pays qu'ils empêchent Monsanto de faire main basse sur notre nourriture. Signez et faites signer vos proches pour lancer le plus grand appel de défense de l'alimentation de l'Histoire : www.avaaz.org

dimanche 14 avril 2013

Maria Teresa Vuillemin, du zen à l'art thérapie

"J’ai une pratique quotidienne, je médite régulièrement, après, je vis comme tout le monde, je vais travailler. Mais à l’intérieur de moi-même, je suis imprégnée. En fait, rien n’est acquis une fois pour toutes. Je suis nonne, mais cela se réalise durant toute sa vie. 
On réalise son engagement avec sa pratique.

C’est imperceptible. Des choses changent à l’intérieur de moi. On devient plus présent à la vie, plus éveillé. Le rapport aux situations de la vie change. Lorsqu’on vit une situation, une émotion, c’est une expérience de la vie et pas toute ma vie. Par exemple, l’expérience de la souffrance, qu’on rencontre dans la méditation, nous permet de nous familiariser avec elle.

Si on accepte la douleur, si on lâche, on se rend compte qu’il n’y a pas que la douleur et qu’elle ne va pas durer. Dans la vie, c’est la même chose: si je m’accroche aux choses, ça ne va pas, je souffre. Le but est d'acquérir la liberté intérieure. Si j’accueille ce qui arrive et ce que je ressens, comme le flux des pensées pendant la méditation, je vivrai les événements beaucoup mieux...

Prenons l'histoire bouddhiste de la tasse de thé qu'on remplit: quand la tasse déborde, le maître dit au disciple étonné: «C’est comme ton esprit. Il faut le vider pour qu'il puisse accueillir ce qui vient.» Les ateliers sont un espace, un moment privilégié. Je souhaite que cela nourrisse les personnes âgées dont je m'occupe, que ça les aide à entrer en contact avec elles-mêmes. Je travaille à les amener au moment présent, à la conscience de soi et de l’autre, pour leur permettre d’être plus présentes à elles-mêmes. Si on est à l'écoute de soi, on subit moins. C'est ce que j'essaie d'apporter aux personnes âgées: les amener à revenir à elles-mêmes...
"



Maria Teresa Vuillemin et le zen par supervielle


 Découvert sur : le site de Phytospiritualité

lundi 8 avril 2013

lundi 1 avril 2013

Pétition : Réformons la Politique Agricole Commune pour une agriculture et une alimentation d'avenir

La réforme de la Politique Agricole Commune (PAC) a lieu tous les 7 ans ! Et c’est maintenant que tout se joue. Nous avons une occasion unique d’agir pour une autre agriculture possible : plus écologique, juste, solidaire et qui favorise l’emploi.

Malgré l’engouement croissant des consommateurs en quête de qualité et de proximité, cette autre agriculture peine à émerger, freinée par la réglementation européenne de la PAC. Pour porter une agriculture d’avenir auprès de nos décideurs et peser sur la réforme actuellement en cours, nous comptons sur vous pour signer cette pétition et la faire connaître autour de vous.

Lire et signer la pétition : www.change.org