mardi 26 mai 2009

L'enjeu crucial des élections européennes, par Nicolas Hulot

LE MONDE - 13.05.09

Il en est de l'Europe comme de la politique : si on ne s'occupe pas d'elle, elle s'occupe de vous. Un seul exemple, en France, 80 % de la législation environnementale provient du droit communautaire. A l'approche des élections européennes, l'intérêt pour cette échéance me semble inversement proportionnel à l'importance du rôle crucial que cet espace politique et géographique peut et doit jouer, pour sortir le moins mal possible de ce carrefour de crises où nous sommes englués. Que l'on soit peu, pro ou anti-européen, l'Europe est une réalité en marche qui détermine et conditionne notre avenir, et l'ignorer, c'est se livrer sans contrôle à son pouvoir et à sa puissance.

C'est à Strasbourg et à Bruxelles que se joue une grande partie de notre avenir. La responsabilité de celles et ceux que nous enverrons nous y représenter est immense. C'est dans ce périmètre que peuvent émerger les prémices d'une société réconciliée avec sa planète et donc avec elle-même. Encore faut-il que ceux que nous aurons élus ne se trompent pas sur l'origine du mal contre lequel nous luttons.

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dimanche 10 mai 2009

En Europe, la nature disparaît à un rythme inquiétant



Faire un bilan est toujours risqué. Stavros Dimas, le commissaire européen à l'environnement, s'est prêté à l'exercice à Athènes, les 27 et 28 avril, devant la fine fleur des experts de la biodiversité. Ce bilan ne s'imposait pas seulement parce que le mandat de la Commission arrive à échéance dans quelques semaines, mais aussi parce qu'il y a sept ans, la communauté internationale s'était fixé rendez-vous en 2010 - autant dire demain - pour mesurer les progrès accomplis en matière de lutte contre la disparition des espèces et la dégradation des écosystèmes constatées sur tous les continents.

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samedi 9 mai 2009

Mon potager biologique


Voilà, je m'y mets ! J'ai loué aux jardins familiaux de Cholet, pour la modique somme de 40 euros l'année, 170 m2 de terrain à cultiver. Je me lance donc dans le potager biologique, et passe à une deuxième étape de mon cheminement écologique. Au fur et à mesure, je présenterai l'évolution du potager sachant que la première année ce ne sera pas folichon et que je risque de faire pas mal de petites erreurs. Comme on dit c'est en jardinant qu'on devient jardinier, faudra attendre quelques années alors pour avoir de bons résultats.

M'enfin je vais faire ce qu'il faut pour que ça marche quand même !

Voici donc le terrain. Un des jardiniers du coin m'a proposé en échange d'une petite pièce de débrousailler la parcelle laisser en friche et de retourner la terre (en surface pour ne pas trop mélanger les couches et perturber l'organisation du sol).



Si j'avais pris le jardin plus tôt, comme cela reste une parcelle pas trop grande, j'aurais pu simplement débroussailler et recouvrir le tout de grandes bâches pour laisser la terre digérer le sol, et ensuite faire des trous dans la bache pour planter.