vendredi 31 mai 2013

Urgence pétition : Quelques jours pour stopper le massacre de baleines

Les baleines rorquals sont de fabuleux géants des mers. Mais d'ici quelques jours, plus de 180 représentants de cette espèce en danger seront massacrés par un magnat des affaires et ses complices, dont le hobby préféré est de les harponner, les découper en morceaux pour envoyer la viande via les Pays-Bas jusqu'au Japon pour en faire de la patée pour chiens!

On a trouvé le moyen de stopper la chasse avant qu'elle ne démarre -- on ne peut pas amarrer un bateau plein de viande illégale n'importe où. Les autorités finlandaises et allemandes ont refusé de cautionner ce commerce honteux. Maintenant tout dépend des Hollandais. Ils sont très attachés à leur image de défenseurs de l'environnement et espèrent que ce commerce meurtrier n'attirera pas l'attention. Mais si nous braquons les projecteurs dessus maintenant et demandons aux autorités hollandaises de refuser le transbordement de viande de baleines dans leur port, nous pourrons empêcher ce massacre!

Nous devons agir vite -- les baleiniers vont démarrer la chasse d'ici quelques jours. Signez maintenant et dites à tout le monde de faire comme vous -- construisons une vague de plus d'un million de signatures à l'attention du Premier Ministre Mark Rutte pour l'avertir que nous créérons une tempête médiatique avec des baleines géantes jusque sur le pas de sa porte s'il n'empêche pas le transfert dans les quais hollandais.

Pour signer la pétition : www.avaaz.com

En complément un excellent article de fondwww.idealmag.org

jeudi 30 mai 2013

Que devient la conscience quand le coeur s’arrête ?

Depuis plus de trois siècles, les fondements de la science sont basés sur une approche matérialiste du corps et de l’esprit où pensées, souvenirs, rêves et sensations émaneraient uniquement d’une activité cérébrale mesurable. Lors d’un arrêt cardiaque, l’absence d’afflux sanguin va priver le cerveau d’un apport en glucose et en oxygène, ce qui va entraîner une perte de la fonction neuronale. Si l’on suit la logique de la pensée dominante, aucun souvenir, ni aucune perception n’est alors possible pendant cette cessation d’activité du cœur et du cerveau. 

Pourtant, ce modèle théorique auquel les scientifiques se réfèrent depuis la fin du 17ème siècle n’a jamais été véritablement démontré. Aucune preuve directe n’a jamais permis de déterminer si les neurones de notre cerveau produisent ou non l’essence de notre conscience, ni comment ils la produisent. Aujourd’hui, un autre fait marquant est en train de remettre en question ce vieux paradigme : les Expériences de Mort Imminente. C’est-à-dire des souvenirs et des perceptions rapportés par des dizaines de millions de personnes à travers le monde après un coma avancé ou une mort clinique. Aujourd’hui, de plus en plus de scientifiques de renommée internationale évoquent l’existence d’une conscience qui serait délocalisée et ne serait donc pas limitée à notre cerveau. Bruce Greyson, professeur de psychiatrie, directeur de la Division of Perceptual Studies et du département de médecine psychiatrique de l’Université de Virginie aux Etats-Unis, et spécialiste des EMI, partage ce point de vue : « La présence paradoxale d’une conscience aigüe, lucide, et de processus de pensée logique pendant une période d’irrigation insuffisante de cerveau soulève des questions particulièrement embarrassantes pour notre compréhension actuelle de la conscience et de sa relation aux fonctions cérébrales. Comme l’ont conclu des chercheurs, une sensorialité nette et des processus perceptifs complexes pendant une période de mort clinique apparente ébranlent la conception d’une conscience exclusivement localisée dans le cerveau. ».

Selon une étude réalisée par le Dr Pim Van Lommel, médecin cardiologue hollandais de renommée internationale, publiée en 2001 dans la prestigieuse revue médicale The Lancet, entre 18 et 20% des personnes ayant été victimes d’un arrêt cardiaque disent avoir vécu une Expérience de Mort Imminente. « Cette étude a démontré qu’une conscience lucide, avec des souvenirs et des perceptions, est possible pendant une période d’inconscience, donc indépendamment du cerveau et de l’organisme, explique Pim Van Lommel, auteur du livre Mort ou pas (1). Cette conclusion s’est imposée à partir de preuves incontestables que l’EMI se produit bien pendant la période de mort clinique, et non juste avant ou juste après un arrêt cardiaque. Il s’agit d’une expérience authentique, qui ne peut être attribuée ni à l’imagination du patient, ni à sa peur de la mort, ni à une hallucination, une psychose, des médicaments, ou toutes autres causes physiologiques. C’est le caractère prospectif de ces études de cas qui a permis de le démontrer. Les patients qui m’ont raconté avoir fait une EMI pendant un arrêt cardiaque avaient perçu clairement leur environnement, et le récit qu’ils en faisaient pouvait être clairement vérifié. Si l’hypothèse selon laquelle la conscience et les souvenirs sont localisés dans le cerveau était exacte, il ne pourrait y avoir aucun signe de conscience au moment où le cerveau ne manifeste plus d’activité. Cette situation est considérée dans la plupart des cas comme la mort clinique, un coma ou la mort du cerveau. Mais, comme l’ont démontré les études d’EMI, il existe des exceptions à la règle. Cette découverte nous contraint à reconsidérer la relation entre cerveau et conscience. Car comment pourrait-on jouir d’une conscience exceptionnellement lucide pendant une période d’interruption de toutes les fonctions mesurables du cerveau ? » 
Cette étude - la plus importante jamais réalisée sur les Expériences de Mort Imminente - a bouleversé le milieu médical international, car elle démontre que la conscience semble ne plus devoir être limitée au fonctionnement du cerveau.
Où est donc située la conscience si ce n’est pas dans le cerveau, et où va-t-elle pendant une période de mort clinique ?
« Une partie de la conscience pourrait être stockée dans une dimension non-locale, suggère Pim Vam Lommel. Notre cerveau servirait seulement de relais à cette conscience non-locale. Il pourrait être comparé à un poste de télé ou à un smartphone qui reçoit des ondes électromagnétiques et les transforme en images et en sons. Sa fonction pourrait être assimilée à celle d’un émetteur-récepteur. Nous sommes conscients de ces champs seulement quand nous allumons notre télé ou quand nous décrochons notre téléphone. Pourtant la voix que nous entendons, les personnes que nous voyons à l’écran ne se trouvent pas à l’intérieur de l’appareil, ni dans ses composants. Mais grâce à cet appareil-récepteur, l’information des champs électromagnétiques devient perceptible pour nos sens. Ce qui expliquerait pourquoi même quand le fonctionnement du cerveau est gravement compromis, certaines personnes ont toujours des sensations, des souvenirs et des perceptions. ». Pourquoi certaines personnes vivent une EMI, d’autres pas ? Fabrice Muamba aurait-il lui aussi eu ce type d’expérience durant cette période de mort clinique ? Peut-être le révélera-t-il un jour...

(1) Sortie prévue le 16 mai 2012 (édition Interéditions/Inrees).
  

mercredi 29 mai 2013

Verbo d'Eduardo Chapero-Jackson

Un surprenant conte initiatique et fantastique sur le vague à l'âme de l'adolescence, le vide existentiel que peut faire ressentir cette période de transition, où la réalité du monde des adultes s'oppose à la fantasmagorie de l'enfance...

Une 1ere partie mystérieuse, inquiétante et captivante qui conduit la jeune Sara à percer le mystère de fresques urbaines créées par un artiste des rues qui se fait appeler Lirico. Elle basculera alors dans un monde parallèle où lui sera offert la possibilité d'éviter le pire et de se ressaisir ; de l'autre côté du miroir, elle devra passer des épreuves qui lui permettront, si elle réussit, d'aller à la découverte de soi, de sa force et de ses ressources intérieures.
 
Nous la suivons alors dans une seconde partie bourrée de bonnes idées, poétique, mélant slam et animation, inspirée qui flirte cependant avec le kitch sur certaines scènes, et pêche à cause d'un discours peut-être trop appuyé ou simplifié...  L'ensemble peut également sembler parfois un peu démagogique, mais le talent du réalisateur (qui nous offre, entre autres, de superbes cadrages) et de l'actrice principale nous capte dès le début et nous embarque dans une histoire forte et assez électrisante au final, sur l'affirmation de soi.

A voir en version originale sous-titrée pour le phrasé du slam en espagnol et pour saisir pleinement le jeu des acteurs.

Bande-annonce (qui ne présente que les scènes d'action, l'aspect psychologique et mystérieux du début n'y transparait pas...)


mardi 28 mai 2013

Se soigner autrement : les guérisseurs et les magnétiseurs

Compte-rendu de l'intervention de Jean-Luc Bartoli, lors d'une conférence de l'INREES sur le thème des magnétiseurs et des guérisseurs

Énergie : c'est à cela qu'on pense en voyant cet homme sportif et décontracté qui nous a parlé avec humour et bienveillance de son métier. Et ça tombe bien : l'énergie est justement la clé de son travail de thérapeute. Ce compagnon de la santé pour qui respect, rigueur et engagement sont la base de toutes missions de soin, rêve d'un monde qui reconnaitrait pleinement sa profession. Justement, on ne peut parler de ces guérisseurs et magnétiseurs sans évoquer les réticences du monde médical à leur sujet. Tout doucement pourtant, une collaboration s'installe entre ces deux univers.


Certains services d'urgence hospitaliers, ceux des grands brûlés notamment, font systématiquement appels aux guérisseurs depuis des années, avec de très bons résultats. « Ca se passe de mieux en mieux. » indique Jean-Luc Bartoli. « La collaboration avec les hôpitaux se généralise doucement. Les médecins apprennent à nous connaître, ceux qui nous connaissent déjà savent à qui ils ont à faire. J'ai été le premier en France, il y a quelques années à travailler avec les hôpitaux de Saint-Malo et de Lorient, parce que je donnais un cours aux personnels soignants. Car ils font de l'énergétique tous les jours, sans le savoir, à chaque fois qu'ils posent la main sur quelqu'un pour une piqûre, une prise de tension ou simplement pour échanger un mot. »

Jean-Luc Bartoli se réjouit bien évidemment de cette confiance nouvelle. Car selon lui les guérisseurs ne sont pas des gens extraordinaires, mais seulement des personnes qui possèdent une ou plusieurs capacités pour aider ceux qui souffrent à guérir ou à se soulager. « Est-ce qu'on explique l'amour ? Pourquoi vouloir expliquer ce que nous faisons ? Nous le faisons, et des milliers de gens s'en trouvent bien. »

Lui-même a découvert cette capacité lorsqu'il était enfant, quand il a aidé un petit copain à reprendre connaissance en posant sa main sur lui. « J'étais enfant quand un copain est tombé violemment, il a perdu connaissance, il était tout blanc. Instinctivement j'ai posé ma main sur lui, il s'est réveillé et s'est relevé. Sans le savoir, je venais d'effectuer mon premier acte de guérisseur. Je n'ai pas réfléchi, la solution s'est imposée à moi. Plus tard, à huit ans, un autre copain est tombé et s'est cassé le bras. J'ai vu que son bras avait un angle bizarre et j'ai réagi de façon instinctive, quasi animale : je lui ai pris le bras et je l'ai retourné... A l'hôpital, le chirurgien a demandé qui lui avait remis le bras : C'est formidable, le geste a été fait à chaud, c'est parfait !. Il a eu d'autres anecdotes puis à 18 ans, j'étais instructeur de combat dans les commandos de l'air. Ceux qui partaient loin recevaient parfois trois vaccins par jour, ça les rendaient évidemment tous malades. Ceux sur qui je passait ma main étaient les seuls à être en forme... Après ça... ça n'a plus arrêté ! »

Cette intuition reste la base du travail du guérisseur. Car si certains ont une spécialité, comme les barreurs de feu, beaucoup fonctionnent au cas par cas et découvrent s'ils peuvent aider un patient au moment où ils le reçoivent. Mais trouver un guérisseur n'est pas simple. Pas d'annuaire, on ne peut compter que sur le bouche à oreille. Les pharmaciens semblent être également des relais possibles. « C'est pour ça que l'émission Enquêtes extraordinaires du 20 mai a déclenché une réaction énorme : là tout d'un coup, les gens avaient une piste. Dès le lendemain, le téléphone sonnait cinq à six fois par minute, des appels qui venaient de toute l'Europe, et j'ai reçu deux mille mails ! C'est d'ailleurs très difficile pour moi de ne pas pouvoir aider tous ces gens... »

Nous voilà chez le guérisseur, comment savoir si l'on est en présence de quelqu'un de confiance ? Jean-Luc Bartoli donne quelques pistes : « s'il vous annonce d'entrée qu'il va régler votre problème, fuyez ! Même chose s'il vous demande de vous déshabiller ou s'il vous dit qu'il faut arrêter votre traitement médical. De plus, nous n'avons pas à poser un diagnostic, c'est au médecin de le faire. »

Conférence exceptionnelle de Jean-Luc Bartoli Jean-Luc Bartoli a ainsi beaucoup insisté sur la responsabilité que nous avons tous vis-à-vis de notre santé. Pour lui, nous avons tous tendance à ne nous occuper de notre santé que lorsqu'elle en danger.
« C'est une erreur fondamentale ! » précise notre invité. « Dans notre culture occidentale, on trouve normal d'amener notre voiture en révision mais pas notre corps ! Le Dr Thierry Janssen m'a expliqué un jour que décider de se déplacer pour consulter un guérisseur enclenche déjà le processus d'auto-guérison. » Car, nous dit Jean-Luc Bartoli, un guérisseur n'a pas la clé de la guérison : « Notre travail consiste à déclencher chez le patient le processus d'auto-guérison. Et celle-ci prend également sa source dans la conscience que nous mettons dans nos actes. Nous sommes composés d'un corps physique mais aussi d'un corps énergétique et d'un corps émotionnel. Il existe un lien très fort entre les trois et ils doivent fonctionner en osmose. »

C'est sur ces paroles que Jean-Luc Bartoli a terminé son exposé, nous adressant ainsi de nombreux conseils et mots de prudence pour envisager au mieux cette pratique complémentaire proposée par les magnétiseurs.

Source : www.inrees.com

dimanche 26 mai 2013

Arnaud Desjardins - le sens sacré de la maternité



Ancien réalisateur à la télévision française, auteur de plusieurs ouvrages, Arnaud Desjardins rencontre de nombreux maîtres en Asie avant de connaître Swâmi Prajnânpad, dont il incarne et transmet l'enseignement pendant plus de trente-cinq ans. Décédé en août 2011, Arnaud a confié cette fonction à ses plus proches collaborateurs qu'il a lui-même choisis et formés de longue date.

samedi 25 mai 2013

vendredi 24 mai 2013

Jimmy Chin escalade Yosemite

Photographe passionné d'escalade, Jimmy Chin partage de superbes et impressionantes images de sa passion.
Voici un petit documentaire sur son travail, filmé dans le magnifique parc naturel de Yosemite.



Le parc national de Yosemite se situe dans les montagnes de la Sierra Nevada, dans l'est de la Californie, aux États-Unis. Avec une superficie totale de 3 079 km2, il est le troisième plus grand parc de Californie. Classé parc national en 1890, le Yosemite est le deuxième plus ancien de l’histoire américaine, après celui de Yellowstone. Ses chutes d’eau et ses dômes granitiques spectaculaires attirent chaque année des milliers de randonneurs et de grimpeurs venant du monde entier. Le Yosemite est un parc de haute montagne dont la diversité naturelle et paysagère a été reconnue patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO en 1984. Mais l’intense fréquentation touristique, au printemps et en été, pose des problèmes environnementaux dans la vallée de Yosemite. Wikipédia

jeudi 23 mai 2013

Première pétition franco-espagnole pour l'Ours

Le Collectif Ours - Pyrénées

Nous soussignés, demandons aux gouvernements français et espagnol une action forte et durable pour la restauration dans les Pyrénées d’une population viable d’ours, via des plans de conservation et de restauration de l'espèce concertés et harmonisés, incluant :

- Le renforcement immédiat des deux noyaux de population d’ours.
- Une meilleure protection juridique de l'ours brun en France et en Espagne.
- Une meilleure protection de son habitat en France et en Espagne.
- Une politique volontariste de valorisation pour les populations locales de ce patrimoine naturel exceptionnel.
- Des mesures efficaces qui favorisent la cohabitation, la prévention et la compensation des dommages à l'élevage pyrénéen.

Les Pyrénées françaises et espagnoles comptent aujourd'hui une vingtaine d'ours. C'est insuffisant pour permettre le maintien durable de l’espèce sur le massif pyrénéen.
Aucun des deux noyaux constituant la population actuelle n’est viable.
Celui des Pyrénées Centrales reste insuffisant, malgré les derniers lâchers.
Quant à celui des Pyrénées Occidentales, composé seulement de deux mâles, il est au bord de l’extinction, alors qu’il couvre la moitié de l’aire de répartition pyrénéenne.
La survie de l’ours dans les Pyrénées exige désormais une politique volontariste et ambitieuse.

Pour signer la pétition : www.avaaz.org

mercredi 22 mai 2013

Un enfant sort du mutisme au contact d’un chien

Alors que ses parents commençaient à perdre espoir, une thérapie très particulière a finalement permis à Marc, un enfant âgé de six ans, de sortir de son mutisme. L’enfant s’est pris d’affection pour un labrador noir et a immédiatement prononcé quelques mots à son contact.

Boo est un labrador noir de 12 ans qui aide des enfants handicapés à apprendre à lire et même à parler. Avant de le rencontrer, Marc Oliviere, 6 ans à l’époque, n’avait jamais prononcé le moindre mot. Lorsque sa maman, April, lui disait bonjour, Marc la fixait du regard. Les repas devenaient rapidement un jeu de devinette durant lequel la maman attendait que son fils lui pointe du doigt ce qu’il avait envie de manger. Lorsque le gamin rentrait de l’école avec des hématomes, la mère devait passer un coup de téléphone à l’école pour découvrir ce qui s’était passé.

Le pouvoir de guérison d’un animal

« Nous n’avions aucune idée de ce qui lui passait par la tête », raconte April. « C’était à la fois triste et frustrant de ne pas savoir ce qu’il voulait ou ce qu’il ressentait ». Un médecin lui a diagnostiqué un mutisme sélectif, un trouble enfantin qui plonge les enfants dans le silence puisqu’ils ne parlent que très peu voir pas du tout.

Après que les thérapies aient échoué, les Oliviere ont inscrit le petit Marc à un programme pour les enfants qui ont un problème d’apprentissage. C’est la première fois que Penny Weiser, la thérapeute, accueillait un enfant atteint de mutisme sélectif. « Même dans nos manuels je n’ai trouvé aucun traitement pour aider Marc à sortir de son silence », raconte-t-elle. « Je me suis alors dit que le pouvoir de guérison des animaux pouvait peut-être aider Marc à s’exprimer ».

Boo et son maître, Lisa Edwards, se sont portés volontaires pour travailler avec ces enfants une fois par semaine. Pendant la première session, les enfants se sont bousculés pour s’approcher du chien lorsque Lisa Edwards leur a expliqué que l’animal avait des problèmes au cerveau. Lorsqu’il n’était qu’un chiot, Boo était très lent à l’apprentissage et il lui a fallu presque deux ans pour maîtriser des ordres simples comme « assis ». « Je pouvais voir les enfants faire leur lien entre leur blocage et les difficultés de Boo », confie la propriétaire du chien.


Les premiers mots

Lorsque Marc a enlacé Boo et l'a caressé, Lisa Edwards a vu se former sur les lèvres du garçon les mots « bon garçon ». En sortant du bus scolaire cet après-midi là, April a vu que son fils était quelque peu excité. « Il s’est passé quelque chose à l’école aujourd’hui ? », lui a-t-elle demandé, pensant que la thérapie canine n’aurait lieu que la semaine suivante. Les yeux de son fils se sont alors remplis de larmes. « Boo », a-t-il murmuré. Sa voix s’est alors affirmée, de plus en plus fort, le petit garçon s’est mis à enchaîner les mots « Je l’ai caressé ! Je l’ai brossé ! Je l’aime ! ». Le petit a alors couru dans sa chambre et a attrapé son Scooby Doo. Il a ensuite revécu sa séance en utilisant le nounours à la place de Boo.

Pour une fois, c’est la maman qui est restée sans voix. « C’était incroyable, je n’arrivais pas à y croire. C’est comme si une porte venait de s’ouvrir et qu’on pouvait enfin voir ce qu’il y a avait à l’intérieur. Ce chien est un miracle ». Cette nuit-là, Marc s’est endormi avec une photo du chien cachée sous son oreiller.

Depuis lors, le timide garçon s’est épanoui socialement et académiquement. Il suit ses cours dans une classe normale et possède son propre chien, un fox terrier baptisé Black Jack. « Maintenant qu’il peut enfin nous raconter ce qu’il ressent, on découvre sa personnalité », a confié sa maman. « C’est toujours notre mignon petit garçon, sauf que cette fois il beaucoup de chose à nous raconter ».

Source : inrees.com - www.a-dog-named-boo.com

mardi 21 mai 2013

lundi 20 mai 2013

vendredi 17 mai 2013

jeudi 16 mai 2013

Thierry Schweitzer, éleveur de porcs sur paille



Thierry Schweitzer, éleveur alsacien de porcs sur paille s'engage à respecter un cahier des charges prenant pleinement en compte les conditions de vie de ces animaux : élevage sur paille en bâtiments ouverts, liberté de mouvement pour les truies, pas d'intervention douloureuse sur les porcelets... Nous vous proposons de découvrir les choix d'élevage de cet éleveur engagé dont le slogan est "Consommer du sens" !

Source : CIWF France

mercredi 15 mai 2013

Pierre Rabhi : « la beauté est d’abord en nous-mêmes »

Comment remettre le respect de la terre, de la nature, au centre de nos priorités ? Selon Pierre Rabhi, nous devons commencer par retrouver notre beauté intérieure, afin de trouver l’élan pour transformer notre société. Portrait d’un pionnier de l’agro-écologie.

Paysan, écrivain et penseur, Pierre Rabhi est connu pour son engagement en faveur de l’agro-écologie. Il défend un mode de société plus respectueux des hommes et soutient le développement de pratiques agricoles préservant les patrimoines nourriciers et accessibles à tous. D’abord marginal, son message reçoit aujourd’hui un écho grandissant. Le 27 mars sort au cinéma Au nom de la terre, un documentaire qui retrace son parcours. L’occasion de revenir sur le destin d’un homme qui place la beauté au centre de l’existence humaine.

« L’esthétisme et la créativité sont une chose, mais la vraie beauté est dans le cœur humain avant tout » affirme Pierre Rabhi lors de ses interventions publiques. Ce militant écologiste convaincu, chantre d’une société basée sur une « sobriété heureuse », pionnier de l’agro-écologie et du retour à la terre, souligne que « le monde ne va pas changer simplement parce qu’on va se chauffer au solaire ou manger bio. Nous devons d’abord générer de la compassion, de la bienveillance ». Un discours bien reçu à en croire sa notoriété grandissante et les salles de cinéma combles qui caractérisent les présentations en avant-première d’Au nom de la terre, le documentaire qui lui est consacré.

Lire la suite : www.inrees.com
 

mardi 14 mai 2013

"Se connaitre soi-même, c'est connaître cet océan, ce trésor qui existe en chaque être humain." David Lynch

lundi 13 mai 2013

Pétition : L’arrêt de mort des orangs-outans

Je vis et je travaille dans le dernier endroit sur Terre où les orangs-outans, les éléphants, les rhinocéros et les tigres menacés d’extinction peuvent encore se côtoyer . Mais ce jardin d’Eden va disparaître sous les coups des pelleteuses, à moins que mon Président n'entende notre appel et ne s’engage à sauver cet habitat unique au monde.

En ce moment-même, dans l'une des forêts indonésiennes les plus préservées, un gouverneur local veut autoriser les compagnies minières et les exploitations d'huiles de palme à massacrer l'équivalent d'un million de terrains de football! Et le ministre des Forêts est sur le point de le laisser faire, à moins que le président n'entre en jeu pour rejeter ce plan qui signerait l'arrêt de mort des orangs-outans.

Nous savons que le président souhaite apparaître comme un ardent défenseur de biodiversité, mais nous devons l'alerter que sa réputation de champion vert et ses espoirs de poste à l'ONU dépendent de la manière dont il agira sur ce dossier. Nous devons agir vite -- Signez cette pétition sans délai et parlez autour de vous de ce projet qui menace notre majestueuse forêt. Si nous sommes un million à signer la pétition d’ici trois jours, je ferai en sorte que le Président entende nos voix

-- Rudi-Putra, Indonésie. Lauréat 2013 du prix Future for Nature.

Signer la pétition : www.avaaz.org

samedi 11 mai 2013

Hasta la vista de Geoffrey Enthoven

Un film impertinent, drôle et émouvant. Un fantastique trio d'acteurs, une très belle histoire d'amitié sur les possibilités de la vie malgré le handicap...


Histoire : Trois jeunes d’une vingtaine d’années aiment le vin et les femmes, mais ils sont encore vierges. Sous prétexte d’une route des vins, ils embarquent pour un voyage en Espagne dans l’espoir d’avoir leur première expérience sexuelle.  Rien ne les arrêtera… Pas même leurs handicaps : l'un est aveugle, l'autre est confiné sur une chaise roulante et le troisième est complètement paralysé.




vendredi 10 mai 2013

Olympiens indigènes : Les Bajau de Sabah

Photo de James Morgan


























Un jeune garçon portant des lunettes de plongée artisanales s’accroche à la queue d’un requin nourrice fauve dans la mer de Chine. Les Bajau de Sabah, à Bornéo, peuvent plonger jusqu’à 20 mètres de profondeur pour pêcher, récolter des perles ou des concombres de mer. Connus comme les "nomades de la mer", les Bajau passent la majeure partie de leur vie dans la mer. La nuit, ils peuvent plonger en apnée jusqu’à trois minutes. Des scientifiques ont découvert que les Bajau peuvent passer plus de 60% de leur journée sous l’eau, tout comme la loutre de mer.

Découvrir les autres Olympiens : www.survivalfrance.org

mercredi 8 mai 2013

Pétition : Comment empêcher le prochain effondrement d'usine au Bangladesh ?

Nous avons tous vu les insoutenables images de centaines de femmes innocentes brûlées vives ou écrasées alors qu’elles confectionnaient NOS vêtements. Nous n'avons que quelques jours pour contraindre les grands noms de la mode d’empêcher qu’un tel drame ne se reproduise.

Les grandes marques de vêtements se fournissent auprès de centaines d’ateliers au Bangladesh. Seules deux entreprises, dont Calvin Klein, ont signé des engagements contraignants offrant des garanties sur la construction et les normes de sécurité. D’autres, Wal-Mart en tête, tentent de se dédouaner de leurs responsabilités en proposant de vagues promesses, ce qui n’est rien d’autre qu’un coup de com’. Mais depuis a catastrophe de la semaine dernière, les réunions de crise s'enchaînent et les grandes chaînes vestimentaires font l'objet d'une pression colossale pour signer un accord contraignant qui pourra sauver des vies.

 Lire la suite et signer la pétition : www.avaaz.org

mardi 7 mai 2013

lundi 6 mai 2013

Frederic Lenoir nous parle de Dieu



Dieu, le divin, la religion : le meilleur et le pire, le dieu identiraire généré par la peur, la spiritualité personnelle qui donne sens à la vie, toutes les religions sont synchrétiques, la domination de l'occident qui nourrit le repli identitaire dans le monde musulman, le message de Jesus : seul l'amour est digne de foi...


dimanche 5 mai 2013

samedi 4 mai 2013

Tom Shadyac, de Ace Ventura à I AM : Enquête sur une prise de conscience

C’est l’histoire d’un réalisateur à succès qui envoie balader les fastes de sa réussite hollywoodienne pour soutenir, caméra au poing, l’être plutôt que l’avoir, la coopération plutôt que la compétition. Le documentaire "I AM" retrace la quête, réelle, du cinéaste Tom Shadyac.

 Vous connaissez Ace Ventura, Professeur Foldingue, Menteur, menteur ou Bruce Tout Puissant ? Signées Tom Shadyac, ces comédies loufoques ont fait se bidonner l’Amérique, et assuré le succès de leur réalisateur.
En 2007, un grave accident de vélo entraîne celui-ci vers la dépression. « J’avais des sautes d’humeur, un tintement résonnait dans ma tête, j’étais devenu sensible à la lumière et au bruit », explique-t-il. Aucune thérapie ne le soulage. Après plusieurs mois de souffrance, il se croit condamné.

 Frôler la mort ne laisse pas indemne. Tom Shadyac s’interroge alors sur le sens de sa vie. Quel message veut-il laisser ? « J’ai commencé à comprendre que le monde dans lequel je vivais était un leurre. » Qu’à partir d’un certain niveau de confort, « l’accumulation de richesses n’achète pas le bonheur », voire qu’elle peut être « une forme de maladie mentale ».
 Il vend sa luxueuse propriété de 1600 m2, arrête de voyager en jet privé, emménage dans un camping résidentiel, entreprend une existence plus simple et plus responsable… Et imagine un projet de film, à la rencontre de ceux dont les livres ont nourri sa prise de conscience – journalistes, universitaires, scientifiques, poètes, activistes, fers de la lance de l’économie éthique… Comme par miracle, ses troubles régressent ; le documentaire peut voir le jour.

Lire la suite : www.inrees.com

mercredi 1 mai 2013