Photo Frans Lanting
Merci à Hacène pour le partage de cette merveilleuse photo !
Douze jours de négociations pour aboutir à un accord a minima : la montagne a accouché d'une souris. Pourquoi un bilan si décevant ?
Copenhague est à la géopolitique ce que les accords de Munich, en septembre 1938, ont été à la politique : un compromis lâche et dilatoire. Mais la comparaison s'arrête là. Si le sommet sur le climat a été un échec, c'est d'abord parce que mettre 192 personnes autour d'une table relève de la grand-messe plus que de négociations véritables. Le problème vient surtout de ce que ces 192 personnes sont des hommes d'Etat, dont la mission première est de défendre les intérêts de leur gouvernement et de leur pays. La politique, c'est son rôle, examine les relations humaines, fussent-elles conflictuelles.Des 65.000 morts britanniques, il en restait 154 le 10 novembre, alors que l'activité épidémique commençait déjà à baisser. Cette baisse se confirme dans plusieurs pays.
Mais les estimations des décideurs politico-sanitaires conseillés par des experts manifestement plus fortiches en conflits d'intérêts qu'en science sont bien pâles par rapport à celles des complotistes antivaccinalistes, selon lesquels quelques puissants voudraient exterminer jusqu'à un quart de l'humanité - soit par une grippe produite en laboratoire soit par la vaccination... Avec la variante de l'introduction de nanoparticules et / ou puces RFID chez tout le monde, pour un contrôle de la population à distance... Et même des experts considérés comme raisonnables ont pu prévoir jusqu'à 60.000 victimes d'effets secondaires des vaccins. Madame Soleil à l'honneur, en version apocalypse...
Une telle annihilation des capacités critiques de la raison par l'appel aux affects immédiats, aux peurs, aux réflexes des tripes n'est pas nouvelle et doit être située dans un contexte plus large. En réfléchissant au fait que son meilleur terroir nourricier est le scientisme. Je me demande si l'Ecole de Francfort n'est pas, en fin de compte, la seule dont le "savoir prévisionnel" - à ne pas confondre avec des chiffres, car il concerne les limites morales à imposer aux sciences - risque d'être confirmé par la réalité. Depuis les années 30, les Francfortois et leurs "descendants" renvoient dos à dos l'irrationalisme et le scientisme, comme autant de formes interdépendantes de destruction de la raison.
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Résumé : La question n’est finalement pas uniquement celle de la vaccination pandémique, mais bien celle de la vaccination annuelle contre la grippe. La réponse sur la question de la pertinence de la vaccination antigrippale doit être globale et personnelle. Les risques liés à la maladie ou au vaccin chez le bien-portant sont tellement infimes qu’ils peuvent difficilement être comparés. Les négliger pour soi ou ses enfants ne constitue pas une perte de chance significative. |
Pour la santé de vos enfants et pour préserver la planète, dites « Oui au bio dans ma cantine » !
Paris, le 8 juin 2009 - Les Amis de la Terre lancent aujourd’hui une campagne publique sur le thème de la responsabilité sociale et environnementale des entreprises (RSEE), intitulée « Profits réels, responsabilité artificielle : encadrons la responsabilité des multinationales ». Cette campagne demande aux députés de renforcer le texte de loi « Grenelle 2 », qui sera voté à l’automne.
La crise financière, économique, écologique et sociale qui secoue actuellement la planète, jugée comme la plus grave depuis 1929, est l’occasion de dresser les responsabilités des acteurs d’un système économique qui montre de graves défaillances structurelles. Pourtant, alors que les dirigeants des principales puissances mondiales mettent la main à la poche pour éviter un effondrement de l’économie mondiale et que les contribuables sont lourdement mis à contribution, les activités des multinationales restent encore très peu encadrées.
Les multinationales (notamment financières) sont pourtant largement à l’origine de la crise, en ayant poussé à l’extrême un système maximisant les bénéfices court terme au détriment de la justice sociale et de l’environnement. Elles n’ont pas hésité pour cela à faire massivement pression sur les pouvoirs publics, qui ont largement dérégulé l’économie et la finance mondiales au détriment de l’intérêt général, et au profit d’une minorité de dirigeants et d’actionnaires.
Lire la suite et signer la pétition : www.amisdelaterre.org